Selon un sondage Ifop pour l’association JNA, 59 % des actifs déclarent être gênés par le bruit au travail. De réelles nuisances sonores apparaissent au quotidien.
Conversations téléphoniques ou entre collègues, photocopieurs et imprimantes, isolation phonique insuffisante de l’extérieur s’additionnent.
Si elles ne portent pas atteinte aux capacités auditives, ces nuisances sonores peuvent avoir un impact important sur d’autres aspects de la santé des salariés. De nombreuses études ont en effet démontré le lien entre bruit et troubles du sommeil, stress, fatigue, hypertension, ou encore aspects cardio-vasculaires.
La véritable transformation doit néanmoins venir de la façon même dont les bureaux sont conçus, aménagés et équipés. Il existe aujourd’hui de nombreuses solutions, simples à mettre en œuvre pour isoler acoustiquement le sol, les murs et les plafonds, en toute discrétion et surtout en toute efficacité.
Il y a en général deux problématiques principales à régler.
La réverbération acoustique, c’est à dire la persistance du son après l’interruption de sa source, peut facilement être combattue grâce à des toiles tendues, des panneaux d’isolation, des dalles de plafond ou des baffles acoustiques.
La propagation directe du bruit d’un bout à l’autre d’un espace, les cloisons acoustiques fixes ou mobiles pourront entraver la circulation du son.
Bien sûr, les entreprises pourront aussi encourager leurs salariés à s’équiper de protections auditives ou à s’isoler lors de leurs conversations téléphoniques.
La mise en place de modules acoustiques indépendants offrant une absorption sonore très performante garantissent une réverbération minimale.
Au-delà de protéger la santé de leurs collaborateurs, les entreprises ont tout intérêt à s’intéresser et à s’investir dans la réduction des nuisances sonores sur les lieux de travail.
En satisfaisant au confort et à la santé des collaborateurs, elles favorisent également leur image, leur attractivité en tant qu’employeur, leur productivité et leur performance.